Zachary Rackham, candidat à l’élection présidentielle, a démenti les allégations selon lesquelles il aurait été un seigneur pirate notoire avant de devenir entrepreneur.
La journaliste financière Bryanna Blanco affirme depuis longtemps que le magnat des affaires a acquis sa fortune initiale par le biais de la piraterie. Elle a récemment annoncé qu’elle redoublait d’efforts pour prouver sa criminalité, l’empêchant ainsi d’accéder à la présidence en vertu des lois électorales fédérales.
Dans un entretien exclusif avec Sol Today, M. Rackham s’est exprimé sur la situation :
« J’ai toujours été très amusé par ces histoires, qui prétendent que j’ai été une sorte de corsaire dans ma jeunesse. Nul doute qu’elles ont contribué à faire grimper les ventes du Federal Times.
Mais dans la Fédération, nous avons des lois qui protègent les personnes innocentes (comme moi !) contre les accusations diffamatoires. Il est temps que Mme Blanco se débarrasse de son obsession malsaine à mon égard, sinon je serai contraint de défendre mon nom par des moyens juridiques. Si elle a besoin d’une bonne source de revenus, ma campagne pourrait toujours avoir besoin d’un rédacteur de discours imaginatif ! »
En réponse, le Federal Times a publié un article personnel de Bryanna Blanco :
« Rackham possède un véritable talent : celui de brouiller les pistes. Avec tout son argent et ses ressources, il a effacé toute trace de son passé. J’ai interrogé de nombreuses victimes et témoins, mais la plupart de mes découvertes ne résisteront pas au tribunal face à sa puissante équipe d’avocats.
C’est pourquoi, grâce à un financement spécial fourni par mon éditeur, j’ai fait appel à des professionnels. L’agence de détectives Wallglass a été engagée pour prouver que Rackham opérait en tant que seigneur pirate. S’ils ne peuvent pas trouver de preuves irréfutables, personne ne le pourra. Et s’il s’avère que j’ai tort, alors Calico Zack pourra tenter de voler la Fédération tout entière. »