Des voix exigent qu’Azimuth soit traduite en justice
Actualité GalactiqueAzimuthSciencesThargoids 21 septembre 2022 Bot Galnet
Les appels se multiplient pour exiger de voir Azimuth Biotech être traduite en justice pour son rôle dans le massacre de HIP 22460.
Rhiannon Grady, directeur de l’organisation des droits civils Advocacy, a déclaré aux médias :
« Azimuth Biotech a planifié toute l’opération de HIP 22460, et c’est l’échec de l’Onde Proteus qui a conduit directement au massacre par les Thargoids de plus de cent mille membres des flottes militaires et pilotes de combat. La mort de Rédemption n’absout en rien la corporation de sa culpabilité. Les responsables doivent absolument répondre des accusations de mise en danger volontaire et de complicité de meurtres de masse devant un tribunal. »
D’autres groupes de citoyens expriment des positions similaires. Certains en appellent à la démission ou à l’arrestation des chefs des superpuissances, coupables à leurs yeux d’avoir soutenu Rédemption. En reconnaissant que la prévention de la construction de l’Onde Proteus aurait sans doute sauvé des vies, le jugement récent rendu par un tribunal spécial de la Marine fédérale dans l’affaire de l’amiral Aden Tanner renforce le poids légal de ces accusations.
Torben Rademaker, PDG par intérim d’Azimuth Biotech, a fait publier cette réponse :
« Certains médias et non initiés mal informés font souvent état de l’échec de l’Onde Proteus. En réalité, le dispositif a fonctionné à merveille en neutralisant comme prévu tous les vaisseaux thargoids présents dans HIP 22460. Malheureusement, le docteur Wycherley n’avait pas imaginé que les xénomorphes avaient développé une technologie capable de recalibrer sa super-arme afin qu’elle affecte nos propres vaisseaux.
Je veux être très clair sur ce point : l’erreur regrettable d’un homme n’a pas de raison d’éclabousser la société Azimuth Biotech toute entière. Notre organisation pave la voie de la recherche xénologique depuis des décennies et abrite de très nombreux experts dévoués dans des domaines variés. Nous devons accepter que le développement d’armes n’est jamais sans risques. En revanche, dans le monde de la recherche scientifique, le concept d’échec n’existe pas. »