Jokers’ Deck ciblé par un voleur d’art Jokers’ Deck ciblé par un voleur d’art
Post Views: 650 Le cercle secret de jeux des super riches a été dévalisé par le célèbre criminel connu seulement comme chat au clin... Jokers’ Deck ciblé par un voleur d’art

Le cercle secret de jeux des super riches a été dévalisé par le célèbre criminel connu seulement comme chat au clin d’œil.

L’information a été révélée par Francesca Wolfe de l’agence de détectives Wallglass, qui a infiltré l’événement. Son rapport, qui a été relayé depuis un lieu inconnu, a été publié par son collègue détective Erik Gunnarson.

« Je ne sais pas si cela atteindra Gunnarson, mais je dois essayer. Après l’alerte de sécurité, les employés ont commencé à faire vérifier leurs pièces d’identité, ce qui aurait pu révéler que la mienne était fausse. J’ai réussi à me glisser hors de l’entrepôt, dans un quartier industriel abandonné. Je ne sais toujours pas sur quelle planète je me trouve, mais j’ai trouvé un vieux transmetteur de communications pour envoyer ce message.

Avant de m’échapper, j’ai appris ce qui a déclenché l’alerte. Il y avait une cérémonie VIP impliquant l’objet le plus précieux du groupe : une ancienne carte à jouer Joker. Apparemment, elle s’est transmise entre les membres les plus importants de Jokers’ Deck pendant des siècles, toujours détenue par l’hôte du moment. Mais lorsque Lexi October a dévoilé publiquement la carte, elle a découvert que celle-ci avait été remplacée par un exemplaire différent : un chat faisant un clin d’œil.

Cela fait deux ans que nous n’avons pas eu de nouvelles du plus grand voleur de la galaxie, mais il n’y a aucun doute que seul les compétences légendaires de celui-ci auraient pu contourner leurs systèmes de sécurité. Je suis fascinée par le fait qu’un morceau de carte abîmé a plus de valeur que n’importe quel objet valant des milliards de crédits mis en jeu ici.

Les gardes sont actuellement à la recherche du voleur. J’espère pouvoir quitter ce monde avant qu’ils ne me trouvent. Ils sont armés jusqu’aux dents et pas d’humeur à discuter… »